Le rapport le plus récent du GIEC a été salué comme l’acte d’accusation le plus brûlant de la situation difficile du climat de la planète. Le rapport du GIEC encore appelé Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat est une publication en trois parties qui offre un aperçu complet de la crise climatique. Il met en lumière ce à quoi le monde est actuellement confronté, les actions entreprises et ce qu’il reste à faire pour un impact positif.
Un bref résumé, une version technique plus longue et un rapport complet sont tous publiés, ce dernier faisant 3 675 pages. Le résumé est de 37 pages, sur lequel portent la plupart des gros titres des médias, est l’endroit où l’on peut trouver les conclusions les plus succinctes.
Voici 5 des faits climatiques les plus percutants trouvés dans le rapport du GIEC appelé IPCC en anglais.

1-CINQ POINTS CLÉ SUR LE CLIMAT PAR LE GIEC
Les points les plus saillants retenus auprès du GIEC sur le changement climatique sont les suivants :
- Le monde a été modifié par le changement climatique
- Près de la moitié du monde vit avec les effets négatifs du changement climatique
- Personne ne fait assez de bonnes choses
- La protection des terres n’est pas une priorité assez importante
- Tout ne peut pas être réparé
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1-LE MONDE TELS QUE NOUS LE CONNAISSONS A ÉTÉ MODIFIE PAR LE CHANGEMENT CLIMATIQUE
Si vous vous demandez si le changement climatique est réel et que vous ne savez pas quoi croire, le rapport du GIEC rend les choses parfaitement claires. « Il est sans équivoque que le changement climatique a déjà perturbé les systèmes humains et naturels », lit-on.
C’est réel et c’est quelque chose avec lequel nous vivons. Cependant, les effets ont peut-être été trop graduels pour que nous puissions les reconnaître. Le rapport adopte une position objective lorsqu’il s’agit de la qualité de vie humaine et des écosystèmes. Le rapport révèle que les deux ont été modifiés. La planète a connu des hausses de température, causées par l’industrialisation et l’éradication des habitats. En d’autres termes, le changement climatique est en grande partie le résultat d’efforts humains à la recherche de profits.

2-PRES DE LA MOITIE DU MONDE VIT AVEC LES EFFETS NÉGATIFS DU CHANGEMENT CLIMATIQUE
« Environ 3,3 à 3,6 milliards de personnes vivent dans des contextes très vulnérables au changement climatique », selon les résultats. Cette statistique représente 45% de la population mondiale et se traduit par des conséquences négatives qui impactent la vie.
Des exemples clairs d’insécurité alimentaire, de sécheresse et de pollution accrue sont inclus. Il existe également des éléments moins évidents tels que l’augmentation du coût de la vie en raison de mauvaises récoltes, la hausse des prix du carburant et les importations alimentaires.
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3-PERSONNE NE FAIT ASSEZ DE BONNES CHOSES
Bien qu’il y ait beaucoup d’efforts pour lutter contre le changement climatique, tous sont considérés comme trop tardifs, trop petits et pas assez permanents. « La plupart des adaptations observées sont fragmentées, à petite échelle, progressives, spécifiques à un secteur, conçues pour répondre aux impacts actuels ou aux risques à court terme, et davantage axées sur la planification que sur la mise en œuvre », révèle le rapport.
Ce point de vue est lié au sentiment général selon lequel la COP26 n’était qu’un autre sommet sur le climat, léger mais bavard, avec des écologistes sérieux laissés pour compte. Il n’y avait pas de plans fermes faits ou assermentés après l’événement.

4-LA PROTECTION DES TERRES N’EST PAS UNE PRIORITÉ SUFFISAMMENT IMPORTANTE
« Le maintien de la résilience de la biodiversité et des services écosystémiques à l’échelle mondiale dépend de la conservation efficace et équitable d’environ 30 % à 50 % des zones terrestres, d’eau douce et océaniques de la Terre. » En bref, la moitié de tous les écosystèmes terrestres doivent être désignés comme zones protégées.
Cela devient d’autant plus crucial que la déforestation pour les entreprises de combustibles fossiles et l’abattage illégal de bois continuent de s’accumuler à un rythme largement non réglementé.
5-TOUT NE PEUT PAS ETRE RÉPARÉ
La plus choquante de toutes les révélations du rapport du GIEC est que certains dommages ne peuvent être réparés, peu importe à quel point nous nous adaptons ou combien nous faisons. « Avec l’augmentation du réchauffement climatique, les pertes et les dommages augmenteront et d’autres systèmes humains et naturels atteindront les limites de l’adaptation. »
Si nous, en tant qu’êtres humains, étions capables et désireux de revoir complètement notre impact sur l’environnement, du jour au lendemain, certains effets continueront de se produire. Certains ont déjà atteint un précipice irréparable.
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Comme indiqué précédemment par la reine verte.
Cet article est apparut pour la première fois sur www.paying.green